Bibliographie
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Beyaert-Geslin Anne, L’image préoccupée, Hermès-Lavoisier, 2009.
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Claas Arnaud, Le réel de la photographie, Filigranes éditions, 2012
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Sontag Susan, Sur la photographie, traduction française de Philippe Blanchard, Le Seuil, 1983, p. 201.
Sorlin Pierre, Persona, du portrait en peinture, Presses de l’université de Vincennes, 2000.
Thürleman Félix, « Blumen-Mythos » de Paul Klee, Ateliers de sémiotique visuelle (A. Henault et A. Beyaert dirs.), PUF, 2004
Todorov Tzvetan, Eloge de l’individu, Essai sur la peinture flamande de la Renaissance, Le Seuil, 2004
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Notes
Algirdas Julien Greimas, « Sémiotique figurative et sémiotique plastique », Actes sémiotiques documents, VI, 60, 1984.
Cette postérité est représentée par Jean-Marie Floch, Petites mythologies de l’œil et de l’esprit. Pour une sémiotique plastique, Hadès-Benjamins, 1985 ; Félix Thürleman, « Blumen-Mythos » de Paul Klee, Ateliers de sémiotique visuelle (A. Henault et A. Beyaert dirs.), PUF, 2004, p. 13-40 ou Paolo Fabbri, « Le sphinx incompris. Etude de l’aquarelle enforme de sphinx de P. Klee », Ateliers de sémiotique visuelle, idem, p. 189-210.
Greimas ne mentionne pas les catégories texturales qui sont, il est vrai, déterminées par les catégories lumineuses, elles-mêmes déjà prises en compte au travers des catégories chromatiques. Les dimensions sont interdépendantes.
Voir notamment Christian Metz, L’énonciation impersonnelle ou le site du film, Meridiens-Klincksieck, 1991 et Pierre Beylot, Le récit audiovisuel, Armand Colin, 2005.
Meyer Schapiro, Words and Pictures. On the Literal and the Symbolic in the Illustration of a Text. Approaches to Semiotics series 11, ed. Thomas A Sebeok. The Hague and Paris : Mouton, 1973 ; version française Les mots et les images, Macula 2000. Je remercie Michel Costantini d’avoir rappelé la précocité de la première publication.
Gianfranco Bettetini et Chiara Giaccardi, « Enunciation », The semiotic web 1992-1993, Mouton de Gruyter, New-York/Berlin, 1993.
Louis Marin, De la représentation, Le Seuil, 1993. Dans cet ouvrage, Marin se réfère explicitement à Benveniste.
Emile Benveniste, Problèmes de linguistique générale, I, Paris, Gallimard, 1966, p. 83.
L’expression est empruntée à Jean-Claude Coquet, Phusis et Logos, Une phénomenologie du Langage, collection « la Philosophie hors de soi » dirigée par Bruno Clément, Presses Universitaires de Vincennes, 2007, p. 95.
Eric Landowski, Présences de l’autre, Essais de socio-sémiotique II, PUF, 1997 ; Les interactions risquées, Nouveaux actes sémiotiques n° s 101-102-103, Limoges, PULIM, 2005.
Le dédoublement ou redoublement de la représentation est décrit notamment par Nelson Goodman, Langages de l’art, Hachette, 1968.
Tzvetan Todorov, Eloge de l’individu, , Essai sur la peinture flamande de la Renaissance, Le Seuil, 2004
Tzvetan Todorov, Eloge de l’individu, Essai sur la peinture flamande de la Renaissance, idem, p. 78. Une description anthropologique de cette mutation est faite par David Le Breton, Anthropologie du corps et modernité, PUF, 1990.
Les cohortes de figures masculines ou féminines à peu près semblables sont caractéristiques de certaines œuvres des Primitifs flamands, et notamment d’Hans Memling.
Anne Beyaert-Geslin et Vivien Lloveria, « Une approche épisémiotique de la présence. Quelques portraits d’adolescents », Versus, Bologne, à paraître en 2013.
Nous avons observé que, dans certains genres tels que la photographie de reportage, le regard vaut comme authentification de la présence et accord donné à la prise de vue, voir à ce sujet L’image préoccupée, Hermès-Lavoisier, 2009.
Selon Sorlin, des peintres aussi illustres que Matisse auraient dessiné leur modèle à peu près de mémoire. Voir à ce sujet Pierre Sorlin, Persona, du portrait en peinture, Presses de l’université de Vincennes, 2000.
La catégorie du pseudo portrait est proposée par Elisabetta Gigante, L’art du portrait, Hazan, 2012.
Roland Barthes, La chambre claire, Note sur la photographie, Cahiers du cinéma, Gallimard, Seuil, 2004 (1980).
Cette intercorporalité argumente la thématique de la fragilité chère au portrait artistique contemporain.
Jacques Fontanille, Sémiotique du discours, PULIM, 1998, p. 280.
Eric Landowski, « Les interactions risquées », idem.
On se reportera pour ce point à Pierre Sorlin, Persona. Du portrait en peinture, Presses universitaires de Vincennes, 2000.
Jacques Fontanille, Pratiques sémiotiques, PUF, 2008.
Sontag fait le lien entre la position du corps et le cadrage. Elle indique notamment qu'en Chine, l'objet est toujours photographié de front, cadré au centre, sous un éclairage uniforme, dans sa totalité.« A la différence de nos pays, où nous posons quand nous le pouvons et où nous laissons faire quand nous le devons, en Chine prendre une photo est toujours un rite, qui implique toujours la pose et, par voie de conséquence, le consentement ». Susan Sontag, Sur la photographie, traduction française de Philippe Blanchard, Le Seuil, 1983, p. 201.
La lecture de l’histoire de la photographie révèlerait notamment l’incidence des dispositifs techniques qui, en fonction du temps de pose et donc du parti de la pose ou de l’instantané, déterminent une photographie objective ou subjective. Pour cette lecture historique, certains portraits de la fin du XIXè siècle obtenus par d’interminables séances de pose, et les portraits instantanés réalisés selon le procédé du polaroid, à partir de 1948, constitueraient sans doute l’opposition la plus saisissante.
Cette « condamnation à l’extériorité » est argumentée dans « L’apparence », La vie de l’esprit, PUF, 1981.
Arnaud Claas, Le réel de la photographie, Filigranes éditions, 2012, p. 29.
Roland Barthes, La chambre claire, Note sur la photographie, Gallimard-Le Seuil, .
Anne Beyaert-Geslin, L’image préoccupée, Hermès-Lavoisier, 2009.
R. Barthes, La chambre claire, Ibid.
C’est l’expression d’un mannequin de Balmain dans l’exposition « Le mannequin : Du portemanteau au topmodel » présentée lors des Rencontres d’Arles, Maison Van Gogh, du 2 juillet au 23 septembre 2012.
Claude Lévi-Strauss, « L’efficacité symbolique », Revue de l’histoire des religions, tome 135, n° 1, 1949, pp. 5-27.
« La loi du théâtre, c’est qu’il ne suffit pas que l’objet représenté soit réel, il faut encore que le sens soit en quelque sorte détaché de la réalité : il ne suffit pas de présenter au public une veste de cantinière réellement usée pour qu’elle signifie l’usure : il faut que vous inventiez, vous metteur en scène, les signes de l’usure » Roland Barthes, « Sémantique de l’objet », Œuvres complètes tome II, Eric Marty éd., Le Seuil,1994, p. 69. Une première version du texte fut publiée dans le volume Arte e cultura nella civilita contemporanea, préparé par Piero Nardi, Sansoni, Firenze, 1966.
Voir notamment Bertold Brecht, Petit organon pour le théâtre, traduction J. Tailleur, Paris, L’Arche, 1970 (1948), pp. 64-65 et « De l’imitation » et « Montrez que vous montrez », trad. J. Tailleur, Poèmes IV, trad. M. Regnaut et al. Paris, L’Arche, 1966 (1934-1941), p. 197.
Pour une description fine de la valeur dans la relation sujet/objet, voir Anne Henault, Les enjeux de la sémiotique, PUF, 2012.
Louis Marin, Le portrait du roi, Paris, Minuit, 1981.
Pour la définition du rituel, nous reportons à Basso et Fontanille dans Pratiques sémiotiques, idem.
Louis Marin, « Le pouvoir et ses représentations », Politiques de la représentation, Kimé-Le collège international de philosophie, 2005, pp. 71-86. Voir également Le portrait du roi, Ibid.
L. Marin, Politiques de la représentation, Ibid, p. 79.
Eric Landowski, « Le discours du pouvoir. Le discours politique », Jean-Claude Coquet et al., Sémiotique, L’ecole de Paris, Hachette, 1982.
Roland Barthes, « Photogénie électorale », Mythologies, Paris, Seuil, 2001 (1957), p. 150-152.
R. Barthes, « Photogénie électorale », idem.
Hamid-Reza Shaïri et Jacques Fontanille, « Approche sémiotique du regard photographique : deux empreinte de l’Iran contemporain », dans Nouveaux actes sémiotiques Dynamiques visuelles n° s 73-74-75, 2001, p. 87-120
Groupe µ, Traité du signe visuel : pour une rhétorique de l’image, Collection La couleur des idées, Seuil, Paris, 1992, p. 304
Anne Beyaert-Geslin, Le portrait entre esthétique et éthique, dossier d’HDR, 2008.
Voir par exemple le « Prenez le pouvoir » de Jean-Luc Mélanchon.
Cette fonction conative fait référence au schéma de la communication de Jakobson.
Louis Marin, « Politiques de la représentation », Kimé-Le collège international de philosophie, 2005, p. 131
L. Marin, « Politiques de la représentation », idem, p. 114.
Michel de Certeau, L’invention du quotidien (1. Arts du faire), Gallimard, 1990.
Louis Marin, « Politiques de la représentation », idem.
La bibliothèque est choisie par les présidents De Gaulle, Pompidou, Mitterrand puis Sarkozy.
Louis Hjelmslev, Prolégomènes à une théorie du langage, Minuit, 1968.
Charles Sanders Peirce, Collected Papers. 8 vol. Cambridge, Harvard U.P., 1931-1958.
Il est constitué des portraits de Charles de Gaulle, Georges Pompidou, Valery Giscard d’Estaing, François Mitterrand, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et François Hollande.
Posture et geste sont décrits par Louis Marin dans De la représentation, idem.
« Il suffit qu’un personnage soit occupé à une activité quelconque pour qu’on ne parle plus de portrait : la dentellière n’est pas un portrait. Dans un portrait le modèle n’est occupé qu’à se ressembler ». Jean-Marie Pontévia (Tout peintre se peint soi-même « Ogni dipintore dipinge se », Ecrits sur l’art et pensées détachées III, William Blake ed., 2001 (2000), p. 16.
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